la ReFeRe...    

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La ReFeRe s’expose

Cinq gros modules (ASAF, Oasis, Nucléaire, Ouches et Dépôt) trônent sur des tables dans une ancienne écurie récurée. Ils sont le fonds permanent du Musée des mondes imaginaires, créé par l’association Alter Ego à Sauvigny.

Qui n'aurait pas écouté ou bien entendu la voix robotique de la Robote peut lire ses 57 réponses ici.

automne 2015 Alter Ego est fermé mais le MMI - c'est-à-dire la ReFeRe - se visite sur rendez-vous au 06 83 71 99 10

été 2015 Durant tout l'été, le MMI accueille les visiteurs tous les  jours sauf le lundi, de 15 à 19 h (et sur rendez-vous au 06 83 71 99 10). Entrée libre. Avec un nouvel îlot, le Dépôt. À (re)visiter, l'Album n° 45 Le Dépôt en réalisation. Vidéo : visite du MMI par FR3 Bourgogne. 5 mn 30 s. Tout frais paru : Le Dépôt, par Alain Fraval. 64 p. Images et texte. Chez lulu. >>

Hiver. Le MMI est fermé, il y fait trop froid. Nonobstant, le personnel, la Conservateur-ou-trice-en-Chef du Musée et Directeur-en-Chef de la ReFeRe vous souhaitent une excellente année 2014. Les réseaux sont en diapause hivernale, jusqu'au printemps, à une date qui sera fixée bientôt. En cas d'urgence absolue, téléphoner au 06 83 71 99 10. la carte en grand >

Septembre 2013   Dans la presse : Musique, poésie et invention à Alter Ego, Le Journal du Centre, 10 septembre 2013.
La Robote a rempli une nouvelle page de ses Mille questions

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Août 2013   Mise en place d'une base de connaissances interactives Mille questions sur les Ouches et la ReFeRe en général : une voix artificielle (La Robote) débite les réponses (21 pour l'instant).
Les animations audio sont installées sur un ordinateur à disposition des visiteurs, avec une page menu. Haut-parleurs ou casques, au choix.

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À écouter : L'intelligence (document sonore : une "spécialiste" de l'intelligence enquête sur les automoteurs de surveillance, le Cafard et son successeur le Cafardeau)

Réouverture au public. Même local, mêmes réseaux plus un. L'écurie a été vidée, nettoyée, une moquette design (bâche sous toiture) neuve a été posée, les tables réinstallées avec leurs plateaux en plaques de polystyrène, des nappes (bulle et/ou parkett + film plastique translucide - bâche - ou noir - film de paillage -) étalées dessus, figurant le stroma. Les réseaux ont été posés, les branchements refaits (dominos et fil de baffles pour le 5 V des LED d'éclairage, rallonges et prises multiples pour le 220 V des transfos) en passant sous la "moquette" tant que possible.
Il a fallu encore bricoler pas mal pour que tous les trains (n = 6) circulent. Et installer les présentoirs (ouvrages, cartes, produits dérivés) et l'ordinateur raconteur.

Au premier plan, l'îlot des Ouches. Derrière, le Nucléaire. Au fond, les panneaux didactiques sur les techniques surplombant un long lutrin portant des documents à consulter. Le local est petit dans toutes ses dimensions.	Sur sa table, au-dessus des blocs surélévateurs d'enfants, sous son éclairage (3 spots), avec son alimentation (3 transfos d'occasion) et un paquet de fils, devant un mur authentiquement d'écurie et dominant le sol moquetté au défix, les Ouches sur son autre face.

  On peut dire que presque tout était en place à l'ouverture, le 1er juin.
Quoi de neuf ? Essentiellement - et c'est un gros morceau - le nouvel îlot nommé Les Ouches - sur le thème L'art descend sur la voie, déjà partiellement dévoilé sur ce site (ici et là). Il n'en existe aucun plan mais une vue aérienne légendée. On ne dévoilera pas le nom du système d'espionnage qui efface les arbres.
Les sites indiqués font l'objet chacun d'une page dans un guide, à lire une première fois en tournant autour de la maquette, à relire en ligne. Il y a trois lignes ferroviaires indépendantes (aucun aiguillage) : une boucle et deux navettes. C'est un peu déroutant mais il suffit de suivre les circulations pour comprendre non l'utilité de tels trajets mais leur géométrie. À chaque ligne son matériel roulant : le Bref encadré de deux voitures profilées, Rhodoleuque (tout neuf) et sa baladeuse, et Petit Taxi.
Les sites sont aimablement indiqués aux visiteurs par la directrice du musée (ou par le Dir-Chef de la ReFeRe s'il est là, c'est-à-dire si on l'a prévenu).
l'accueil, ce n'est pas nouveau.
Une innovation : la signalétique 2.0. Chaque site des Ouches est repéré par un tableau carré (2 x 2 cm), un code QR, qu'il suffit de flasher avec son ordiphone pour savoir où l'on est (avec quelques mots). C'est encore expérimental et évolutif.

Autre chose, à l'instar des plus grands musées de renommée mondiale, le MMI offre (vend) des produits dérivés : des sculptures patafixistes et empilistes (des vraies !) pour inaugurer la boutique qui jouxte la bibliothèque où sont exposés (et vendus) les principaux ouvrages classiques indispensables : l'abécédaire - avec sa version en anglais, l'album Rudiment illustré, guide... À quelques décimètres de là, l'auditorium propose, en plus des classiques, un document sonore inédit " L'intelligence" où il est question des automoteurs de surveillance.

Tout juste homologué et certifié, le Cafardeau, qui remplace le Cafard hors service. Furtif, l'air inoffensif, de couleur indéfinissable mais pas salissante, on en espère une surveillance impitoyable sur le Nucléaire où  il a pris son service.	On dirait un locotracteur avec une grande cabine, ou une grosse draisine. Il offre 4 places très confortables, plus si la voiture veut bien le suivre (problème d'attelage). C'est Petit Taxi.	Vaste automoteur, puissant, souple et assez silencieux. Il traîne ou pousse (il va et vient) une baladeuse surbaissée et renforcée (bogies à 3 essieux). Le rose et le blanc de sa livrée lui valent le nom de Rhodoleuque.

Alter Ego  / MMI

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Le MMI n'est désormais - et ceci jusqu'au printemps - ouvert que sur rendez-vous - appeler le 06 83 71 99 10 et/ou écrire à Alter Ego.
Les 3 modules passeront l'hiver in situ, vu qu'ils ont parfaitement résisté au froid et à l'humidité de l'hiver dernier. Les rats ont juste bouffé les fils 220 V (qui courent toujours par terre..) et ont fait l'objet d'un traitement approprié. Les mouches ont visiblement boudé l'expo.
Les engins moteurs, attelés ou haut le pied, ont bien circulé, tournant en huit ou allant et venant. Non pas sans quelques incidents. Déraillements ordinaires, plantages de chou banals et plongeon sur le sol suite à un excès de vitesse en courbe. La carosserie (en carton et papier) du Cafard sauteur a résisté, les bogies ont choisi la liberté. Rattrapés, ils ont repris leur service mais en rechignant un peu. L'engin moteur le plus fidèle aura été la Caisse noire, en plus facile à remettre sur les rails.
Un nouvel automoteur sera construit cet hiver pour faire face au trafic de la saison prochaine. Les locos et autorails morts ou presque, pour leur dignité, seront un jour préservés et offerts à la curiosité et à la reconnaissance des générations futures dans une Nécropole.

Année de construction : 2012. En service sur le Nucléaire comme automoteur de surveillance. La remorque n'a pas été construite, d'où son surnom de Vert-Solitaire.	Sorti des Ateliers de l'ASAF en 2008. Longtemps affecté à la détection des tire au flanc sur le Nucléaire, appelé familièrement le Cafard. A survécu à une chute, avec de légères séquelles.	Une réalisation de 2011, sur une base de 030. Use inlassablement les rails en huit de l'Oasis. Connue comme la Caisse-Noire.

Merci aux visiteurs - dont certains venus de loin - pour leur intérêt et leur appréciation.
À bientôt !

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Le mardi 16 mai, le MMI ouvrira pour sa deuxième saison. Les réseaux ont hiverné sur place, réanimés de temps à autre pour des visites. Expo ouverte jusqu'au 28 octobre, du mardi au dimanche, de 15 à 19 heures, en même temps que les oeuvres présentées à côté par plusieurs artistes successivement : ici l'agenda.

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vendredi 14 octobre 2011

Les visites sont encore possibles sur rendez-vous uniquement, jusqu’à ce que les 3 réseaux exposés gagnent leur lieu d’hivernage. Ils passeront l’hiver sur le chaffaut au-dessus de l’autre écurie, sous une bâche et sous la sauvegarde d’un bac de sel déshumidificateur.
Durant cette courte première saison, l’ASAF, l’Oasis et le Nucléaire ont été exposés conjointement avec les œuvres des plasticiens accrochées dans la grange voisine. Ils se sont prêtés à l’examen des petits et des grands, des indigènes et des exogènes, des microferroviphiles et des agnostiques, des mâles et des femelles, des ruraux et des urbains…
Merci aux quelque 400 visiteurs pour leur intérêt, leur respect du matériel et leurs appréciations.
Un petit bilan ?
Le caractère agricolo-agricole du lieu a été très bien accepté, personne ne s’est ouvert le crâne sur la grosse poutre, les éclairages ont été éclairants, la hauteur d’1 mètre 30 globalement adaptée (avec des marchepieds pour les enfants), les explications écrites lues, les panneaux regardés, les documents feuilletés, les enregistrements audio écoutés, l’adresse du site Internet notée… et l’altermodélisme a été apprécié. Il a été répondu à toutes les questions sauf une : combien d’heures pour construire tout ça ?
Il aura manqué des fiches explicatives en anglais, un défaut grave pallié depuis peu grâce à l’aimable intervention d’une visiteuse talentueuse. À compléter (c’est sur les rails) par un ouvrage bilingue, des enregistrements en cette langue et des fiches en néerlandais.
Les trains ont roulé vaillamment sauf quand ils ont été en panne. Un peu de pchitt à nettoyer les contacts, de l’alcool à 70°, une goutte d’huile sur les engrenages, et c’est reparti sauf pour 2 locotracteurs (le Métro et le Switcher) définitivement épuisés qui ont été remplacés par plus roulants ; ils couleront une retraite heureuse comme décor tandis que de nouveaux engins seront mis en service. Au sein de la cavalerie, le Bref mérite une médaille.
Les LED ont éclairé brillamment sauf celles qui ont claqué ; elles furent remplacées (les lampadaires entiers reconstruits) mais… je dois installer un circuit séparé avec un transfo ad hoc.
Il me reste à vouer aux gémonies les mouches qui ont conchié le stroma blanc mousseux et le toit ivoiré de l’Articulé et à donner rendez-vous à l’ouverture de la saison prochaine.
En attendant, c’est sur ce site que ça se passe.
A.F.

Novembre 2011 : attachée à chaque réseau, une fiche descriptive en français et en anglais (merci à Rosemary Border).

	Au premier plan, l'Oasis (Double-Huit) sonorisé par la circulation ininterrompue et absurde de deux convois tractés par le Switcher et par le Bref. Au-delà d'un passage large (relativement), l'ASAF, où règne un certain silence, car le trafic y est bloqué par une altercation sur la voie principale. Sur le mur du fond (des parpaings en ciment, imitation de concrete), des bas-reliefs encadrés apportent des éléments de connaissance sur les techniques. Juste en dessous, une longue tablette inclinée avec des recueils de textes fondamentaux, à feuilleter. L'éclairage est en place et éclaire - pas trop. Au-dessus de chaque table, 3 ampoules basse consommation incorporées non dans un faux-pafond mais dans des carrés de contre-plaqué assemblés par des tasseaux. 31 juillet 2011
	Au fond, le Nucléaire sour un ciel marron et très bas : c'est une grosse poutre, parfaitement inamovible et dangereuse. Les visiteurs sont avertis par une affichette : "Inclinez-vous devant tant d'ingéniosité". Le Cafard, automoteur de surveillance, va et vient sur la voie serpentente entre ses deux terminus où il a tendance à demeurer jusqu'à ce qu'on lui l'impulsion qui le propulse vers sa nouvelle mission. 5 octobre  2011
la ReFeRe cause
	Installé sur une petite table posée dans l'auge , un écran (ci-contre)  assorti d'une souris invite à chausser un casque et à écouter au choix ou à la suite la présentation des sites d'intérêt de l'Oasis (enregistrée en 2008) et une interview du Directeur-en-Chef, toute nouvelle, qui s'exprime brièvement sur des questions graves : l'esprit de la ReFeRe en un mot, la parité au travail, le trafic de toxiques et le paysage - et dévoile ses intentions. 5 octobre 2011
C'est encore du provisoire, monté dans l'urgence.	Pour les visiteurs non (ou peu) francophones, il manque des explications en d'autres langues, notamment en anglais et en néérlandais. En premier lieu la page de Wikipédia. Les traducteurs sollicités ont aimablement accepté puis ont renoncé : trop difficile. Le défi est lancé...

Le lieu de l'exposition :le hameau de Sauvigny, à Marigny-sur-Yonne (Nièvre, Bourgogne), près de Corbigny, non loin de Clamecy et de Vézelay. Carte. 
C'est juste au dessus d'un tronçon de voie de chemin de fer réel objet d'un reportage. À cette occasion, une brochure vient de paraître, en guise de catalogue, que l’on trouvera ici. 

	L'installation Les 3 sites majeurs de la ReFeRe sont en place, chacun sur une table (cadre et pieds en bois, plateau posé fait de plaques de polystyrène). On reconnaît l'Oasis (alias Double-Huit) à l'avant plan et l'ASAF au fond. Le plafond est très très bas... 10 juillet 2011
	Plus bas que le plafond bas, une grosse poutre traverse le local (une ancienne écurie pas très grande) et domine le Nucléaire. Le port du casque et une grande indulgence sont recommandés. La photo est prise en lumière naturelle (porte ouverte). L'éclairage - en cours de mise au point - devra aussi atténuer l'effet d'écrasement. 10 juillet 2011
	Deux fourgons pour le transport (une dizaine de kilomètres). Le Nucléaire et l'Oasis sont sur la tranche, attachés entre les pattes d'une table retournée ; l'ASAF circule à plat. On a fait bien attention à ne rien heurter lors des manoeuvres de chargement et tout est arrivé intact. 10 juillet 2011

Ouvert du mardi au dimanche, de 15 à 19 heures 30
et sur rendez-vous : alterego@assoalterego.info ou 06 83 71 99 10.
Me prévenir également  : alain.fraval@orange.fr ou 06 70 14 57 12
Je m’efforcerai d’être là et serai heureux de vous présenter l’expo.
Merci de votre visite à la ReFeRe en chair et en os.
A.F. juillet 2011