la ReFeRe
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Album n°38 (Pendant l'expo, les travaux continuent)
Work in progress - H0e/H0n3
scale (1/87) 9 mm gauge freelanced
model railroad
Oui, que s'est-il passé à l'atelier, sur l'établi, pendant l'expo ? Des menus travaux et un immense chantier. Du classique et du particulier. |
Le poste de travail, dans sa configuration "travail en cours". En fait, habituellement, l'encombrement est tel que la tournette ne tourne pas. Survient quand même assez souvent une séance de rangement et d'élimination des débris et autres chutes qui se retrouvent dans les boîtes à ça-peut-servir. Le plan de travail reprend son aspect habituel au bout de quelques minutes. |
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Manquait des bidons. Des pailles à boire peintes (à l'acrylique) découpées en tronçons au Chopper sont operculées à la colle à bois prise rapide (la marque habituelle) teintée d'acrylique. |
Fallait un engin locomoteur de
plus dans l'écurie, de façon à pallier la défaillance de Métro, relégué
au rang de figurant, moteur kaputt. Une loco-tender 030 états-unienne (en N) a
servi telle quelle de base. Lui furent greffés un châssis et une
vaste cabine, un peu comme les vicinaux. La Bouillotte, présente sur le chantier, fut de même construite -il y a longtemps - sur une vapeur 020. |
Fallait aussi poursuivre
l'expansionnisme de la ReFeRe. D'où un nouveau module dont il est
impossible de prévoir la configurtion finale mais dont l'embryon est un
caisson parrallépipédique de 80 x 30 x 5,5 cm. La simplicité du
périmètre est bien entendu contrebalancée par des découpes bizarres. Les trois voies parallèles encadrent un espace dévolu à des jardins, des parcs, des installations, des lieux de détente. |
Des barquettes en alu ont fourni la matière à des fûts d'allure parfaitement métallique. |
Les gros réservoirs (à fioul, à hydrogène ?) sont figurés par des gélules (vides). | Les voies étaient bien
parallèles mais un chouïa trop rapprochées, ce qui fut corrigé :
décollage (en mouillant puis en tirant dessus), retaillage des quais,
élargissement du pont, décapage (à la lime électrique), collage d'une
voie neuve - l'ancienne sera recyclée plus loin. |
Manquait du personnel. Un recrutement fut opéré via Internet, chez des fournisseurs ayant pignon sur écran. Habillés (sobrement), les agents employables (Auhagen) prirent leur poste d'agent d'ambiance, de gardien d'expo, de créateur... Sortis de leur sac, les Extrême-Orientaux-bon-marché apparurent comme n'ayant pas figure humaine (ni qualités intellectuelles) et furent naturalisés. Désignés comme "sujets", autrement dit des sortes de statues grandeur 1;1, ils furent peints tous en gris et utilisés dans des créations artistiques et du mobilier. |
Il
s'appelle Mélano car sa livrée, élégemment soulignée par une jupe
fuschia surplombant l'embiellage nickel-chrome est gris de Payne.
Quelle est la racine grecque pour signifier cette couleur précise ? Il
fut impossible de la trouver, alors on a pris celle qui signifie noir. Le voici attelé à un vieux fourgon qui lui va bien (gris de Payne clair), sur la voie aérienne au-dessus du gril devant le Très-Haut fourneau. |
Ce
modeste module bien chargé (détails à venir) s'est fait greffer un
prolongement ; l'opération s'est faite par en dessous, avec des piliers
provisoires pour garantir le niveau. L'îlot ainsi constitué, au paysage résolument idyllique, agreste, horticole, édénique, jardinier, arboricole, paradisiaque, bucolique et courtiller, pourrait s'appeler Les Ouches. A suivre... |